Page:Jaurès - Histoire socialiste, XIII.djvu/186

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protectionnisme, 341 ; 346 ; 351 ; 352 ; 366 ; 374 ; 380.

Arrêté le 2 décembre 1851, X, 2 ; la campagne électorale de 1863, 156 et sq ; il est élu, 158 ; son rôle à la Chambre de 1864 à 1867, 253 et sq ; 259 ; la session de 1866, 260 ; son discours du 3 mai 1866, 263.

Son opposition à la guerre, XI, 2 ; son voyage en Europe, 12 ; chef du Gouvernement en 1871, 15 ; ses vues sur l’Unité allemande ; amalgame de bon sens et de préjugés, 62 ; il démêle bien le jeu louche de l’Empereur entre la politique des nationalités et la politique de l’équilibre assurant la suprématie de la France, 63 ; mais lui-même se trouve pris dans la contradiction entre l’idée révolutionnaire et la politique traditionnelle de la vieille France, 65 ; comment il cherche à s’en échapper par des sophismes, 66 ; sa défense de l’équilibre européen n’est que la défense d’un équilibre mensonger assurant la domination de la France, 68 ; cet équilibre était inacceptable pour les autres nations, 70 ; il discuté du mouvement des nationalités comme si ce n’était qu’une abstraction, et c’est un mouvement unanime et profond, 70 et sq ; il méconnaît des faits évidents comme la force du Zollverein ou la nécessité de l’unité italienne, 71 et sq ; à quoi cette politique aurait mené la France, 76 ; il se déclarait partisan de la paix, 76 ; mais sa politique rendait la guerre inévitable, 78 ; d’autant plus qu’elle n’offrait rien au véhément besoin d’unité qui se manifestait partout en Allemagne, 79 ; lui-même sent que sa politique n’assure à la France qu’une paix précaire, 80 ; par ailleurs, son intransigeance sur la question romaine l’empêche de compter sur l’alliance italienne, 81 et sq ; contre l’éventualité d’une alliance italo-prussienne opposée à la France, il ne peut compter que sur la modération de Bismarck, 87 ; sa politique le menait, d’autre part, à un choc avec la Russie, 87 et sq ; il comptait, à tort d’ailleurs, sur l’Angleterre et sur l’Autriche, 90 ; sa politique conduisait enfin à une conflagration européenne, 92 ; il a une grande part de responsabilité dans la mésentente franco-allemande, 94 ; esprit court et habile, il aurait peut-être, au pouvoir, senti le danger des circonstances et prévenu les conflits, 96 ; 203 ; comment il s’oppose à la guerre, le 14 juillet 1870, 225 ; son interprétation des défaites de 1870, 242 ; 260.

Son élection à Paris en 1871, 264 ; chef du Pouvoir exécutif, 266 ; sa rancune contre Paris, 267 ; il voulait « soumettre Paris », 258 ; il veut s’attaquer à la garde nationale, 275 ; son plan du 18 mars, 276 ; sa proclamation, 276 ; sa retraite de Paris, 278 ; 282 ; son jeu dans les négociations des maires, 287 ; comment il empêche l’assemblée de se déclarer royaliste le 23 mars et ainsi de donner des forces à Paris, 302 et sq ; 306 ; 334 ; 346 ; il se met à la besogne de répression dès le 26 mars ; « l’ordre sera rétabli », 347 ; ses circulaires aux préfets, 347 ; comment il organise l’armée, 348 et sq ; avant tout, il l’isole, 351 ; Bismarck lui fournit des soldats, 351 ; il ouvre le feu le 2 avril, 352 ; 366 ; sa conduite dans l’affaire de l’archevêque, 404 et sq ; c’est lui qui porte la responsabilité de cette mort, 408 ; comment il reçut les conciliateurs en avril, 414 et sq ; ses circulaires aux préfets à la même époque, 415 ; les élus républicains restés à l’Assemblée justifient son arrogance, 415 ; son plan militaire, 426 ; 440 ; il a la main libre contre Paris après la paix de Francfort, 442 ; à Montretout, 444 ; comment il chauffe l’enthousiasme contre Paris, 444 ; comment il voulut la résistance de la Capitale pour mieux la saigner, 449 - 450 ; il laisse la bride aux chefs militai- res pour cette œuvre, 467 ; il triomphe, 478.

Son autorité en 1871, XII, 9 ; il est tenu cependant en défiance par tous les partis, 10 ; ses exigences lors de la discussion de la loi municipale, 16 ; la question romaine, l’ordre du jour Barthe, 27 et sq ; la loi Rivet, 41 ; son message après la loi, 42 ; 43 ; son message de décembre 1871 mécontente les républicains, 50 et sq ; sa brouille avec la majorité de l’Assemblée, 56 ; sa démission le 10 janvier 1872, 57 ; il reprend sa démission, 58 ; son voyage républicain de 1872, 86 ; son message de novembre 1872, 87 ; « la République sera conservatrice », 88 ; il offre à Pie IX le château de Pau, 94 ; son discours du 24 mai 1873 ; 102 et sq ; sa démission, 103 ; impression dans le pays, 103 et sq ; 104 ; 153 ; 158 ; son discours d’Arcachon, 177 ; 195 ; 222.

Thiessé. tribun, VI, 161 ; éliminé, 161 ;

Thile (de), 161 et sq.

Thill, poète souabe, III, 551.

Thion de la Chaume. Signe l’adresse au roi contre la loi sur les prêtres réfractaires, II, 858.

Thirifocq, vénérable de loge maçonninique en 1871, XI, 418.

Thirion, IV, 1120 ; 1302 ; 1600.

Thomas, vérificateur dans les ateliers de Montmartre, I, 583.

Thomas, député à la Convention, IV, 954.

Thomas, républicain de 1830, VIII, 34 ; sa tentative d’insurrection à Lunéville en 1834, 271 ; déporté, 280.

Thomas (Albert), III, 268.

Thomas (Clément), commandant de la garde nationale ; son mot aux ouvriers des Ateliers nationaux, IX, 71 ; 72 ; 112 ;