Page:Jaurès - Histoire socialiste, XIII.djvu/29

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et des paysans, 500 ; conséquences de la vente ; il y a désormais l’expropriation de 1791 entre les paysans et le clergé, 518 ; cette vente est faite en vertu de la loi, 518 ; elle lie les bourgeois aux paysans, 519 ; elle accélère le progrès économique, 520 ; la vente avait bien réussi à la fin de 1791, 750 ; quelques rectifications, 1 ; Nécessité d’études approfondies, v.

II, 1019 ; délais nouveaux accordés aux acquéreurs, 1088 ; état de la vente en octobre 1792, III, 256 ; extension du système aux peuples étrangers, 588 ; décret du 24 août 1793, IV, 1576 ; la vente s’accentue en 1794, 1772 ; V, 79 et erratum, comment la spéculation et toute une série de lois avilissent les prix en 1795, 80 ; mesures concernant la vente, 81 et sq ; la vente, d’avril 1796 à mai 1797, 358 et sq ; le Directoire y cherche un complément de recettes, 458 ; résumé des opérations, 459 ; profession des acquéreurs, 459 ; énumération de quelques ventes intéressantes, 460 et sq ; la possession est garantie par l’Église dans le Concordat, VI, 90 ; comment, sous l’Empire, les biens nationaux servent à la constitution des sénatoreries, 449 ; VII, 106 ; restitution des biens non vendus à l’Église, 106 ; 119.

Bien Informé (Le), VII, 55.

Bien public (Le). Réclame du sang, XI, 470.

Blevre, entrepreneur parisien en 1791, I, 6i3.

Bigot de Préameneu. Elu, le 5 août 1789, représentant de la Commune de Paris. I, 3(i ; sénateur du 1er Empire, VI, 169 ; 375.

Bigot (Léon), avocat, X, 377 ; XII, 35.

Bigot, officier Saint-Simonien, VIII, 160.

Bijoutiers, VIII, 238.

Bijoutiers en doré. Leur association, VIII, 375.

Billardère (La), naturaliste, V, 217.

Billaudel, fonctionnaire-candidat, VIII, 327.

Billaud-Varennes, III, 58 ; député de Paris à la Convention, 105 ; 418 ; IV, 1063 ; 1134 ; 1332 ; 1362 ; pousse à une lutte nouvelle, le soir du 31 mai, 1428 ; ses Eléments de républicanisme, sa pensée sociale, 1502 et sq ; sa critique de la pauvreté et de la mendicité, 1503 ; son désir du grand luxe collectif, 1504 ; il veut la limitation loyale des propriétés foncières et la réglementation dt l’héritage, 1506 ; il formule pour tous le droit à la propriété, 15io ; son collectivisme individualiste, 1512 ; membre du Comité de salut public, 1681 ; 1690, 1742 ; 1760 ; 1808 ; 1812 ; 1814 ; 1816 ; son rôle au 9 thermidor, 1817 et sq ; V, 25 ; 30 ; 39 ; 42 ; 72 ; 88 ; 96 ; 148 ; 423.

Billault, VIII, 427 ; 442 ; 511 ; 514 ; 564 ; IX, 222 ; 260 ; 290 ; 304 ; il préside le corps législatif en 1852 ; X, 38 ; 42 ; 54 ; 107 ; m ; 137 ; 139 ; 147 ; ministre d’État, 159.

Billet (Colonel). Tué à Limoges en 1871, XI, 376.

Billets de confiance. Créés parce qu’on a besoin de petite monnaie, II, 1038 ; interdiction d’en émettre, 8 novembre 1792, III, 272.

Billioray. Elu à la Commune, XI, 308 ; 335 ; 430 ; 446 ; 449 ; sa disparition, 463 ; son procès, 484 ; XII, 36.

Bineau. Son rapport contre le rachat des chemins de fer en 1868, IX, 72 ; 358 ; ministre des finances, X, 35.

Biollay, I, vi ; V, 23 ; 271.

Biot, V, 238.

Biré, V, 59.

Birmingham, III, 687.

Biron (Général), II, 1250 ; 1309 ; attaqué par Marat, IV, 1623.

Birotteau, III, 320 et sq ; député à la Convention, 1188 ; dénoncé par les sections de Paris, IV, 1199 ; 1437 ; décrété d’arrestation le 2 juin, 1447.

Bismarck, IX, 267 ; X. 80 ; ses origines, sa politique en 1864, 24g ; la question des duchés, 249 et sq ; Biarritz, 258 ; Sadowa, 271 et sq ; les négociations après Sadowa (Mayence, Belgique, Luxembourg) en 1860, 274 ; sa modération en 1867, 275.

Son jeu avec Bazaine, XI, 11 ; 15 ; son but : la constitution de l’Allemagne par l’exclusion de l’Autriche, 27 ; sa politique en 1866, 27 ; ses négociations avec Benedetti au sujet de Mayence, 32 et sq ; habileté de sa politique dans la question de l’unité allemande, 48 ; ce qu’il pensait réellement du suffrage universel et du Parlement, malgré ses déclarations à Benedetti, 49 et sq ; il fait tout pour que la Prusse joue le rôle dominant en Allemagne, 50 ; mais il a besoin pour aboutir, de la force immense de la nation, 51 ; comment, en la mettant en branle, il tâche de la limiter et de la subordonner, 5i ; son plan de Parlement allemand, 54 et sq ; pour mieux aboutir à la domination de la Prusse sur l’Allemagne unie, il songe à constituer, seulement d’abord, une Confédération de l’Allemagne du Nord, 54 ; mais on ne fait pas à la démocratie sa part, 56 ; après Sadowa il résistait au mouvement unitaire plutôt qu’il ne l’avivait, 79 ; sa politique à l’égard de la Russie, 88 et sq ; sa politique de modération et d’attente après Sadowa : il guette les événements, 148 et sq ; la question du Luxembourg, 150 ; comment il cherche à discréditer l’Autriche, 151 ; sa tactique à l’égard des États du Sud, 152 ; il se lasse de la politique expectante ; les unitaires sont vain-