Page:Jaurès - Histoire socialiste, XIII.djvu/30

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cus en Bavière en 1869, 158 ; il voit l’Autriche s’enhardir, 159 et sq ; il cherche les événements qui pourront lui donner la guerre nationale devenue nécessaire, 160 ; la candidature Hohenzollern, 161 et sq ; comment il déchaîna la guerre, 215 ; sa retraite à Varzin, 216 ; la dépêche d’Ems, 220 et sq : comment il crée une atmosphère de guerre ; la France tombe dans le piège, 223.

Il fournit des soldats à Thiers contre la Commune, 351 ; XII, 3 ; 94.

Bisson (Raoul de), ami de Lullier, XI, 299 ; 438, 443.

Bittard des Portes. Charette, V, 58 et sq ; 114 ; 135 ; 145 et sq ; 297.

Bixio, ministre de Louis-Napoléon, IX, 128 ; X, 115.

Blacas (duc de), confident de Louis XIII, VII, 33, 46 ; 74.

Blad, député à la Convention. Envoyé en Bretagne, V, 112.

Blanc (Albert). Envoyé de la Commune de Paris, à Lyon, XI, 368.

Blanc (Edmond). VIII, 439.

Blanc (J. -J.), typographe, candidat ouvrier en 1863, X, 211 et sq ; l’échec, 213 ; sa lettre après l’échec, 213 ; un des Soixante, 224 ; 296.

Blanc (Louis). Ignore l’existence de la loi Chapelier, I, 616 ; 699, 700 ; II, 759 ; 875 ; 1277 ; III, 67 ; 81 ; 743 ; IV, 922 ; 961 ; io33 ; 1740 ; V, 120 ; VIII, 7, 8 ; 11 ; 15 ; 16 ; 33 ; 38 ; 41 ; 49 ; III ; son nationalisme propagandiste, 112 ; 129 ; ses idées interventionnistes, 132 ; 139 ; 172 ; 182 ; 212 ; 217 ; 219 ; 220 ; ses enfantillages de politique extérieure, 223 ; 235 ; 241 ; 242 ; 246 ; 250 ; 253 : 257 ; 258 ; 275 ; 279 ; 280 ; 287 ; 295 ; 331 ; 335 ; 347 ; sa Revue du Progrès, 374 ; 402 ; répudié par les bonapartistes, 411 ; 418 ; 426 ; 443 ; 458 ; son Organisation du travail, paraît en 1840, 470 ; son passé, 470 et sq ; les articles de la Revue du Progrès, 471, en quoi son socialisme d’État se différencie du babouvisme, 472 ; suffrage universel et réforme sociale, 472 ; la part de l’État, 472 ; le système de transformation, 473 et sq ; 486 ; 552 ; son rôle dans les journées de février 1848, 567 et sq.

Secrétaire du Gouvernement provisoire en 1848, IX, 3 ; il en devient membre, 4 ; pourquoi il accepte la Commission du Luxembourg, 9 ; ce qu’il voulait le 17 mars 1848, 33 ; il crut avoir sauvé la Société, 34 ; il organise la journée du 17 avril, 38 ; 42, 48, 49, 50, 5i ; son rôle au 15 mai 1848, 52 et sq ; comment on a confondu les ateliers nationaux et les ateliers sociaux, 63 ; 65, 67, 74, 81, 83, 94, 96, 98 ; poursuivi pour les événements du t5 mai, 99 ; 127, 133, 137, 141, 154 ; à Londres, 208 ; son Nouveau Monde, 209, 211, 231 et sq, 239, 242, 244, 250, 255, 258, 265 ; son idée de l’organisation du Travail, 267 ; il part de la critique de la production, 268 ; il veut la réformer par l’association aidée de l’État, 268 ; le système des ateliers sociaux, 270 : son rôle à la commission du Luxembourg, 271 et sq ; 279. 280, 289, 294, 332, 336, 338, 367, 370, 380 ; l’exil à Londres, X, 85 ; 96 ; ses querelles avec Ledru-Rollin et Mazzini, 97 ; 102 : il refuse de profiter de l’amnistie de 1859, 121 ; 148 ; 324 ; 326 ; son élection à Paris en 1871, XI. 264 ; 288 ; 290 ; 304 ; il reste à l’Assemblée nationale pendant la Commune, 415, 417 ; XII, 41 ; son discours contre la loi de 1872 ; 63 ; 84 ; 98 : son intervention à propos de la loi municipale, i30 ; 134 ; son intervention pour les lois de protection ouvrière, 134 ; son discours sur la Constitution, 158, 160 ; 168 ; 169 ; 183 ; son discours sur la misère lyonnaise, une déception, 212.

Blanchard, ouvrier occupé aux assignats, emprisonné, V, 302.

Blanchet. Conspire contre Napoléon en 1808, VI, 473.

Blanchet. Élu à la Commune, XI, 308 ; 430.

Blanchisseuses. Leur rôle en février 1793, IV, 1029.

Blangilly, député des Bouches-du-Rhône à la Législative, rapporte la question des esclaves, 11, 983 ; propose pour la première fois un plan d’émancipation graduelle, 984.

Blanqui (Adolphe), saint-Simonien, VIII, 84 ; 354 ; 468 ; 543 ; IX, 134, 319 : son enquête sur l’industrie en 1848, 327 ; 350.

Blanqui (Auguste). IV, 1367 ; VI, 331 ; son attitude en 1830, VIII, 15 ; arrêté, 34 ; sa défense socialiste au procès des quinze, 171 ; 275 ; 286 ; son caractère, 287 ; son article sur l’association, 288 ; le complot de la rue de Lourcine, 288 ; interné à Pontoise après l’amnistie de 1837, 298 ; amour et conspiration : les Saisons, 298 ; son rôle au 12 mai 1839, 343 et sq ; enfermé, 352 ; au mont Saint-Michel et à Tours, 539 ; 556 ; IX, 7, 22, 24 ; ce qu’il voulait le 17 mars 1848, 33 et sq ; le document Taschereau, 36, 38, 49, 5i ; son rôle au 15 mai 1848, 52, 54, 133, 179 ; Belle-lsle, 208 ; 209, 231, 235, 236, 239, 242, 280, 287 ; X, 84 ; il forme des élèves, 150 ; son influence sur la jeunesse de 1864 à 1866, 287 ; 302 ; son activité de 1868 à 1870, 332 ; ses déclarations au Gouvernement provisoire, XI, 10 ; le 31 octobre, 14 : 213 ; son découragement après La Villette, 246 ; 16 août et 4 septembre, 246 et sq ; 259 ; son rôle le 31 octobre 1870, 25g ; le 22 janvier, 263 ; 264 ; non élu en février 1871 ; son voyage à Bordeaux, 270 ; élu à la Commune, 308 ; 31i ; emprisonné par Thiers ; comment la Commune tente de l’échanger, 403 ;