Page:Jaurès - Histoire socialiste, XIII.djvu/54

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CONGRÈS — 44— CONSTITUANTE Congrès (Voiries noms des villes où ils furent tenus). Congrès de la Paix. Organisé en 1840, IX, 238. Coiinrau, ami de Cavour et de Napo- léon ni, x, 108 ; 115.5 Conquête des pouvoirs publies. La question au début de l’Internationale, X, 291 ; 312. Consalvi. Son rôle dans les négocia- tions du Concordat, VI, 79 et sq ; 96. Conscription. L’idée émise par la Convention, IV, 993 : établie par le Di- rectoire, V, 174 : 497 ; loi nouvelle après le 30 prairial, 534 ; rigueur de son appli- cation à partir de 1807, VI, 361 ; terreur qu’elle cause dans le pays, 362 ; opéra- tions de 1813 à 1814, 411 ; 464 ; V’II, 38. Conscription maritime. Sous le premier Empire, VI, 464. Conseil, agent provocateur de Thiers en Suisse, VIII, 292. Conseil des Anciens. Sa composi- tion et ses pouvoirs, V, i3t ; son ouver- ture, 281, Conseil des Cinq-Cents. Sa com- position et ses pouvoirs, V, i31 ; son ouverture, 281, Conseil général du Commerce. Sous le premier Empire, son activité, VI, 279 et sq. Conseil d’État. Son rôle dans la Constitution de l’an VIII, VI, 38 ; com- ment Bonaparte le compose en 1800, 49 ; sa situation dans la Constitution de l’an X, 170 ; sa section de commerce créée en 1804, 280 : 409 ; rôle que lui attribue la Constitution de 1848, IX, 110. Conseil de l’Instruction pu- blique. Etabli sous le Directoire pour l’examen des livres classiques, V, tg3. Conseiller du Peuple {Le), IX, 196. Conseils de guerre. Organisés par la loi de 1796, V, 172 ; leur œuvre en 1871, XI, 490 ; encore leur besogne de 1871, XII, 34. Conseils généraux. Loi de 1833, VIII, 241 ; les élections de 1871, XII, 46. Consens (John), 111, 202. Conservateurs (Cf. Royalistes, Légitimistes, Orléanistes, Ca- tholiques, etc…). Leur rôle à l’As- semblée nationale, XII, 44 ; républicains et conservateurs monarchistes, 104 et sq ; ils sont encore maîtres de la situation en 1876, 195 : jeur politique après 1879 ; le n’importequ’isme, a31 ; leur tactique aux élections de 1886, 246 ; leur succès, 247. Conservatoire des arts et mé- tiers, V, 206. Conservatoire de musique, V’ 204. Considérant (Victor), VIII, 315 ; dis- ciple de Fourier, 320 ; 322 ; son livre : la Destinée sociale (1834), 322 ; son oppo- sition aux procédés politiques de la dé- mocratie, mais non à la démocratie, 323 ; 443 ; son article programme de la Démo- cratie pacifique, 44’i et sq ; sa démission de l’armée, 444 ; son activité de propa- gandiste, 445 ; sa polémique avec Prou- dhon, 460 ; 552 ; 556 ; IX, 17 ; 24, 26 ; son rôle pendant les journées de juin, IX. 78et sq ; 83 ; 08 ; 102 ; J33 ; 137 ; 141 ; 152 ; 193 ; 200 ; 209 ; 230et sq ; ilexpose la doctrine fouriériste à la Chambre, le 24avril1849, 246et sq ; 249 ; 255 ; A58 et sq ; 264 ; 265 ; 271 ; 274 ; 289 : 314 ; 364 ; 38o ; X, 162. Considère, VIII, 167. Conspirations. Sous la Restauration elles furent inefficaces, VII, 179 ; mais elles n’ont pas été tout à fait inutiles, 180. Constatas, XII, 227 ; ministre de l’Inté- rieur, 254 ; se sépare du cabinet Tirard ; ministre de l’Instruction publique sous Freycinet, 257. Constant (Abbé), IX, 231. Constant (Benjamin). Défend la pro- priété, VI, 436 ; nommé tribun, V, 5t ; 157 ; sa résistance libérale au Premier Consul, t5g ; 161 ; ses relations avec Mme de Staël, 492 ; appelé par Napoléon pendant les Cent Jours, VII, 47 ; son éloquence, 97 ; sa défense de la liberté industrielle et de la liberté de la presse, 146 ; 147 ; 167 ; rééluen 1823, 198et sq ; 218 ; son rôle en juillet 1830, 248 ; son idée du monopole de l’imprimerie, VIII, 19 ; son avidité en 1830, 102. Constnntine (V.). Prise en 1837, VIII. 302. Constituante (Assemblée). Par quelle fiction elle est à la fois monar- chique et révolutionnaire, I, 253 ; elle prend soin de ne pas s’isoler de Paris, 256 ; son impuissance du 11 au 14 juillet 1789, 260 ; sa situation, après le 14 juillet, entre Paris et la royauté, 277 ; comment elle aborde le problème du régime féo- dal, 278 ; comment elle le résout, dans la nuit du 4 août, 279 ; d’où vient alors son enthousiasme, 287 ; comment elle 1 détourne le problème de la propriété de la question des droits féodaux, qui tou- che à la propriété bourgeoise, vers celle des biens ecclésiastiques, 29S : sa situa- tion à la fin de septembre 1789 ; les modérés vont tenter contre la Révolu- tion un coup d’État législatif, 308 ; con- centration de toutes les forces conserva- trices, 30o ; son esprit révolutionnaire moyen, 37-5 ; raisons de son attitude dans la question de l’électorat ; ses sen- timents à l’égard des prolétaires, 397 ;