Page:Jaurès - Histoire socialiste, XIII.djvu/53

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

COMPAGNON — 43— CONGRÉGATION Compagnon, X, 184. "j Compagnons du Soleil, V, 98. Compagnons de Jésus C’est le vrai nom des Compagnons de Jéhu, V, 98. Compan (Général), VII, 2. Comptoirs « l’Escompte. Etablis en 1848, IX, 336 ; leur fonctionnement, 337. Comtat Ycnaissiit (Cf. Avignon). Comte (Auguste), I, 533 ; son erreur sur le spirituel et le temporel, 534 ; saint- simonien, VII, 260 ; disciple de Saint- Simon, son œuvre, VIII, 84 ; son opinion sur le saint-simonisme, 194 ; IX, 16 ; 231 ; 238 ; 256. Conciles (V.). Dans l’Eure, II, 1072. Conciles. Concile de Paris réuni par Napoléon I" en 1811, VI, 377 (Cf. Va- tican). Concordat, VI, 64 ; il procède unique- ment de la volonté de domination de Bonaparte, 73 ; comment il fut conclu, 75 et sq ; ses dispositions, 82 et sq ; sa ratification, 92 ; son acceptation par le Tribunal et le Corps législatif, 96 ; le Te Deum de Noire-Dame, 97 ; jugement d’ensemble, 98 ; le Concordat de 1813, 3^8 ; projet de modification en 1814, VII, 124 ; idée de revision en 1848, IX, 192. Concussionnaires, VIII, 436 et sq. Condé (Prince de), I, 678 ; V, 120 ; VI, 186. Coudé (Prince de), le lils, son héritage, VIII, 46. Condé (V.), IV, 1634 ; V, 44. Condé-sur-Vesgre (V.). L’expérience du Phalanstère, VIII, 321 et sq. Condillac, V, 217. Condorcet. Elu à l’Assemblée des repré- sentants de la Commune de Paris, le 31 août 1789, I, 3n ; proteste contre la loi du marc d’argent, 431 ; combat l’assignat- monnaie, 470 ; affirme en 1791, la Répu- blique comme l’immédiate nécessité, 721 et sq ; il reconnaît l’utilité passée de la royauté, 724 ; la nécessité, pour la Répu- blique, d’une politique de paix, 725 ; 432 ; il se résigne à la guerre, mais tente de la concilier avec la philosophie de la paix du xvm e siècle, II, 884 et sq ; il s’efforce d’épurer la guerre, le 17 jan- vier 1792, 909 ; il développait son plan d’instruction publique au moment où Louis XVI vient à la Législative pour la déclaration de guerre, 954 ; 1037 ; préoc- cupé dès 1792 du problème de la misère, il exprime déjà sa grande conception mutualiste, 1114 ; étude de ce plan, 1134 et sq ; il le formule au moment où l’on pressent de prochains changements dans la Révolution, d’où son souci de conser- ver la liberté de la critique, 1138 ; son effort pourorganiser la hbertéà l’intérieur de l’enseignement national, 1143 ; ses idées sur l’antiquité, 1144 ; son souci de sauver la pensée ouvrière, réduite à la stupidité par le machinisme, 1152 ; juge- ment d’ensemble sur son plan, 1154 ; il ne songe encore qu’à mêler les classes, 1155 ; 1286 ; obligé de se défendre le 3 septembre 1792, III, 62 ; 73 ; élu à la Con- vention, 98 ; 212 ; il combat le projet de suppression du budget des cultes, 242 ; 247 ; 272 ; 291 ; 299 ; ses idées sur l’équi- libre des prix et des salaires, 314 et sq : il blâme la campagne de Buzot contre Paris, 396 ; sa sévérité pour la Gironde, après ses attaques contre Robespierre, 423 ; conduit, malgré ses idées de liberté pour chaque peuple, à approuver le sys- tème révolutionnaire de Cambon, 564 et sq ; son vote contre l’appel au peuple, IV, 935 ; son vote contre la mort du roi, 949 ; 966 ; ses préoccupations sociales au début de 1793, 1006 ; il continue de sou- tenir en février-mars 1793 l’idée de la li- berté commerciale, 1047 et sq ; ne voit pas le péril de la révolution en mars, 1090 ; 1131 ; son plan d’éducation, 1466 et sq ; 1583 ; son plan de constitution est atténué par les Montagnards, 1584 ; 1670 ; dénoncé à la Convention il écrit le Ta- bleau des Progrès de l’Esprit Humain, 1786 ; son pressentiment de la grande révolution humaine qui a commence, 1787 ; sa crainte du resserrement censi- taire de la Révolution et de la démocra- tie, 1791 ; place qu’a dans son système, lapréoccupation de l’égalité sociale, 1793 ; il donne à la Révolution toute sa gran- deur, 1796 ; XII, 30g. Concffie, entrepreneur parisien en 1791, 1, 613. . Confédération du Rhin. Sa situa- tion en 1809, VI, 382 ; sa ruine en 1818, 439. Confédération générale du Travail. XII, 312. Congo, XII, 234. Congrégations. Politique de Napo- léon I" a leur égard, VI, 376 ; le minis- tère Villèle ne peut soustraire les congré- gations de femmes à l’autorisation de la loi, VII, 206 et sq ; VIII, 515 ; leur déve- loppement à la fin du règne de Louis- Philippe, 558 ; le projet de loi de février 1847, 558 ; part que leur fait la loi Fal- loux, IX, 181 ; leur rôle dans l’enseigne- ment primaire, X, 72 ; leur développe- ment croissant sous le second Empire, 72 ; l’article 7, XII, 225 ; les décrets de Ferry et l’agitation qu’ils provoquent, 227.* Congrégation (La). Son institution et son rôle, VII, g5 ; développement de son œuvre, 167’et sq ; ses filiales, 168 ; elle s’empare de l’enseignement, 169 ; et du roi, 170 ; son action pour la guerre espa- gnole, 187 ; tableau de son activité tou- jours croissante, 214. LIV. 8. — HISTOI RE SOCIALISTE. — TAULE ANALYTIQUE. — LIV. 7.