Page:Jean Paul - Pensées, 1829.djvu/137

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tes d’après leur pureté ; nous, en avons de la première, de la seconde et de la troisième eau, et, dans le Jardin poétique de Rossdorf, il s’en trouve même de la dixième.


Il ne faut jamais chercher à s’excuser ; ce n’est point la raison des autres, mais leur passion, qui est irritée contre nous ; et, vis-à-vis de celle-ci, le temps est la meilleure justification.


Sachez habituer de bonne heure votre fille aux travaux domestiques et lui en inspirer le goût ; que la religion seule et la poésie ouvrent son cœur au ciel. Amassez de la terre autour de la racine qui nourrit cette plante délicate, mais n’en laissez point tomber dans son calice.