Page:Jean Paul - Pensées, 1829.djvu/20

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M même tempsd’une pureté et d’ttnebontéde cœur singulières. Peu à peu, Jean-Paul commença à être Mgardé, non plus comme un cerveau hralé, à-la-fois enthousiaste et bouffon, mais comme un homme d’Mne ga ! té, d’une énergie, d’une sensibilité et d’une pénétration Maie !. Ses écrit.) lui procurèrent des amis et de la renommée, et en&n une femme et une existence usurée. Avec Caroline Mayer, sa bonne épouse, et une pension qui ini fut donnée en 1~ par le roideBa~ère. il se fixa &Bayre.th, camtate dehp~ceo&He)ait.é ; Hy~t~tourèd’hom. mages, et devint chaqaejom-ptMcétebre. Il estmort te 14 novembre iM, aimé et admiré par tous se Mmpatn.t<s, etsurtoutparceuxqui~aie.tcon.u intimement.

Co ! oNat, irrégulier au moral comme an physique (car son portrait est M-méme une— étude curieuse de physioeno~ plein de feu, de <=~ pétuosi.é.Richter parait avoir été en même temps donx.simpteethnmain..p ! Mha.tdegré.Ma.mait beaucoup la conversation, et était très-capable dy briller; il parlait comme il écrivait, dans un style qui tui était propre, et qm se faisait remarquer par une vigueur et des charmes agrestes auxquels son accent de Bayreuth ajoutait encore. Mais pardessus tout il aimait la solitude, la campagne, tout ce qui était simple et naturel. Ainsi qu’il le dit tui.mem., 1