Page:Joseph Louis de Lagrange - Œuvres, Tome 14.djvu/257

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et un tel Ouvrage demanderait un Volume in-4o de la même épaisseur que nos Commentaires.

Je finis, Monsieur, ayant l’honneur d’être, avec les sentiments du plus parfait dévouement,

Votre très humble et très obéissant serviteur,
L. Euler.

P.–S. - Permettez-moi, Monsieur, d’ajouter encore deux théorèmes qui me paraissent vrais, quoique je n’en aie pu encore trouver la démonstration :

Théorème I. Il n’y a point de courbe algébrique dont un arc quelconque soit égal au logarithme d’une fonction quelconque.

Théorème II. – Hormis le cercle, il n’y a point de courbe algébrique dont un arc quelconque soit égal à un arc de cercle.


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