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Page:Journal asiatique, série 9, tome 12.djvu/11

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SÉANCE GÉNÉRALE.

vous concentrer nos efforts, parce qu’elles sont notre principale raison d’être et la meilleure preuve des services que notre Société, vieille de 77 ans, ne cesse de rendre «à la marche en avant de l’érudition orientale.

M. R. Duval lit le rapport de la Commission des censeurs sur les comptes de 1897. M. le Président remercie, au nom de la Société, les membres de cette Commission et de la Commission des fonds.

Plusieurs membres expriment le désir que, sur les sommes disponibles provenant chaque année de l’excédent des recettes sur les dépenses, il soit prélevé une somme à déterminer, dont une partie serait affectée à l’acquisition de livres et à l’abonnement de revues périodiques ; le surplus servirait à la publication de textes et de traductions d’ouvrages orientaux par les soins de la Société, ou à encourager, au moyen d’une subvention, les travaux des orientalistes. Ce vœu, qui est appuyé par M. le Président, est renvoyé au bureau et à la Commission des fonds.

Sont présentés et reçus membres de la Société :

MM. Bonet (Jean), professeur de langue annamite à l’Ecole des langues orientales vivantes, demeurant à Paris, rue Grelfulhe, 7 ; présenté par MM. Houdas et Barbier de Meynard.

Mondon-Vidailhet, chargé du cours de langue abyssine (amharique) à l’Ecole des langues orientales, demeurant à Saint-Gaudens