Page:Jouy - Les Chansons de l’année, 1888.djvu/191

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Le fils fera comme le père ;
La vengeance vous guette au seuil ;
Craignez de voir sortir de terre
Les morts enterrés sans cercueil !

Tremblez ! Les lions qu'on courrouce
Mordent quand ils sont réveillés !
Fleur rouge éclose dans la mousse,
L'avenir pousse
Sur le tombeau des fusillés ! (bis)

A MONAM)TA~A~ !A~ LES RIEURS < C’tt< un fait d))tt~htiqM. nom ()0t). ~oa* ma<M< !M)ftomme pMhaMaque t’O- )t{M~e) !))<{M9bfj))t)M.(MXMtT.) (~<-<.t ~ <(.M. <t<WM<)t,<t<t<))<.) <),t~ ’<HH mot.) AM ~MMM.y ~M’ttttM«tt’a f<’pXM<tM. Polichinelleset pitres, Decervellesestropiés, Quifrappez sur vos pupitres De vos couteaux à papier, Berthelot, autre Kassandre, Fut prophète en son discours Le vieux the&treest en cendre. Eh bien t riez-voustoujours ? Veneztous voir sur ta place, Trop joyeux législateurs :