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&ÂyrunvTC . )f-f ’Ve^ux ^ "valoir lapmnéî-edeleur Bile. Lascience vraye fysolide ef asseXfertile defoyi& capableJe remplirl’espritleplus grandde l’hommeffatts man- dieraiíleurs^aueir tant detemps ey’trauail des choses Vainesfyfliuolcs3 pour l’ensurcharger. Sur l’ojsfe que faifoït le Gran d Alexandre àDio* genede fèsriches prefènSy ce Philosophelepria feulement de ne luy oser . pointson ombrexmii ne luy pouuoit donner
- Ce que ie diroìs plus vòlon-
< tiers.a ceux-cyAs cet autre ouurage du Soleiljçauoirdu tempsrequérant d’eux qu’ils ne le nous fijfent point perdre3v.eu qu’estant vnefois pc-rdu il ne :je peut plmreco.uurer. r ; Jl*íau ficeux- dont ie viens de parler nous gafientleschoses,en voicy - d’autres.dpeIle zr vulgairement Pedans3 lesquels font la troifiefme efpece (n’y comprenant ceux qui enseignent auec art & honneur’) qui ksdefmisent eúcore .pliislicencie usèment par le me (pris qu’ils enfant, ne s’arrefians qu’aux-mots & a vn babil afifaitté QT flux exçisjifde langage l fanssolidité &fans iugement.Carp ourueu Qu’ils efiourdifjent les oreilles & chargent la mémoire de leurs disciples d’vne ^radcaffluence de discours "bouffis de mots e’flranges& inutiles ; ils croyent par là d’esiredoctes ou -deparoiflre tels, afin d’allécher les esprits tendres de la ièunejje qu’ils rria^ .nientimpérieusement aiesfuiure : & depuis que lesvns ft) les autres ont pris cetfësaufe impression defçauoirjeuresprits’endort dans cetaffou--’. pìjjemcntfsihkn qu’ils cuttiucntdeplus en plus ces .mauuaifes plantes de vain. &inutU apprentissage ,qu ils deuroient arracher, & -dontles racines. enfris’eflmdent.filoinqu’il m.rcflepius de placepour les bonne*semence
- . Jvîais cependant de laarrius vn- grand mal ; car cette méthode
-corrompue d’enseigner ajellement ruiné IÂS bonnes lettres 3 que tes mots • ayans pris la place des choses dans l’esprit, l’on ne remarque déformais en la pluspart des gens infirmaisdeleur façon,quvn fçauoir confus & mutileyouflufiofivnombn>ât’^uoir^ qui nhge feulement en la superflu - de de leur cêruÂle fans auoiramune racines telle que doit àuoir vne - vraye connoisfanç.e ).dansle coeur’&'Jans•i’intelligmce.duiugemenL La ’ science estant vne içhofe fat’ grandptíHs^ ils fondent dessous ; Et comme pòur employer cetterichespuissante.matièreAlyfaut vnenatureforte
