Page:La Fayette, Tencin, Fontaines - Œuvres complètes, Lepetit, 1820, tome 3.djvu/211

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Val n’avait point de motif assez pressant pour entreprendre de les surmonter ; il fallait, pour cela, une passion aussi vive que celle dont M. de Châlons était animé. Après avoir examiné tous les moyens, il se détermina d’aller joindre le comte de Canaple, qui cherchait à profiter des circonstances pour ravitailler Calais.

Milord d’Arondel convint avec M. de Châlons, qu’afin qu’il fût plus maître de ses démarches, on laisserait subsister l’opinion où l’on était, qu’il avait péri à la bataille de Crécy, et il les conduisit lui et Saint-Val par-delà les lignes du camp, d’où ils allèrent avec la plus grande diligence possible à celui des Français.

FIN DE LA TROISIÈME PARTIE.