Page:La Fayette, Tencin, Fontaines - Œuvres complètes, Lepetit, 1820, tome 3.djvu/321

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

plus difficile à soutenir que la douleur. Je vous ai souvent promis de vous conter les malheurs qui m’ont conduite ici. Il faut vous tenir parole. Peut-être en tirerez-vous quelque instruction : vous apprendrez du moins, par mon exemple, qu’il y a des malheurs bien plus grands que ceux que vous avez éprouvés.

Ce qu’elle m’apprit de ses aventures me fit tant d’impression, que, pour avoir la satisfaction de les relire, je la priai de consentir que je les écrivisse ; et c’est ce que j’ai écrit que je donne ici.

FIN DE LA PREMIÈRE PARTIE.