Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 1.djvu/44

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clat & d’élevation à une perſonne qui avoit de la beauté & de la naiſſance : mais elle luy faiſoit voir auſſi combien il eſtoit difficile de conſerver cette vertu, que par une extrême défiance de ſoy‐même, & par un grand ſoin de s’attacher à ce qui ſeul peut faire le bon‐heur d’une femme, qui eſt d’aimer ſon mary & d’en eſtre aimée.

Cette heritiere eſtoit alors un des grands Partis qu’il y eut en France ; &