Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/340

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( LETTR’’. des mords et des brides plus grandes qu’& l’ordinaire, afin que la postrit crtlt que lui et ses gens toient d’autres hornroes, puisqu’ils se servoient de si grands chevaux. Peut-gtraussi que l’ancien pare de Richelieu e[ les bois de ses avenues, qui toient beaux, semblerent t leur maitre dignes d’un Chiteau plus somptueux clue celui de son patrimoine ; et ce Chttea. u attira la Ville, cornroe le principal fait l’accegsolre. Enfin elle est, tt mon avis, Mal situe et bien bdtie ; O,n en a fait tousles logis Dune pareille symtrie. Ce. soar des bdtimens fort hauts ; . Leur aspect vous plairoit sans faute ; Les dedans one quelque,s dfauts ; Le plus grand c’est qu ils manquent d’hOte. La plOpart sont inhabitez ; Je ne vis ? ersonne en la rut’ : II m’ en dlplut, j’ aime aux citez Un peu de bruit et de cohuL J at dtt la rue, et at been dtt, . Car die est seule et des plus drottes : Oe Dieu lui donne le crtdit De se roir un ]our des cadetres ! Vous vous souviendrez bien et beau Q.u’ chaque bout est une Place Grand quarrle, et de niveau ; Ce qui sans doute,a bonne grace. C’est aussi tout, mais c’est assez. De savoir si la ville est forte Je m’en remets ases fossez, Murs parapets reinparts et porte. Au reste, i e ne vous saurois mieuxd{peindre tous ces