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LÉONCE, indigné.
Oh ! mon père !…
BLANDINET.
Ce n’est pas moi… c’est François qui parle… la petite est jolie et il s’en sert comme d’une amorce…
LÉONCE.
Est-ce bien vous, si bon, si bienveillant ?
BLANDINET.
Mon ami… je connais les hommes… depuis hier soir…
LÉONCE.
Pouvez-vous parler ainsi d’un vieil ami ?
BLANDINET.
Ce n’est pas moi… c’est François…
LÉONCE.
En vérité, mon père, vous m’affligez…
BLANDINET.
Mais que veux-tu que je te dise ?… c’est François…
LÉONCE.
Prêter de pareils sentiments à une famille que depuis mon enfance vous m’avez appris à aimer et à respecter…
BLANDINET.
Mais encore une fois…
LÉONCE, en sortant par la gauche, premier plan.
Ah ! tenez je ne vous reconnais plus…