Page:Labiche - Théâtre complet, Calman-Lévy, 1898, volume 03.djvu/422

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Fourchevif, à Lambert.

Je vous demande pardon de vous avoir laissé.

Lambert, présentant Rouquérolle.

Baron, voici la personne dont je vous ai parlé.

Fourchevif, saluant Rouquérolle.

Monsieur… (À Lambert.) Quelle personne ?

Lambert.

L’intendant.

Fourchevif.

Ah oui ! Nous avions parlé… vaguement…

Lambert.

Je me suis permis de l’arrêter en votre nom.

Fourchevif.

Comment, déjà ?

Lambert.

Nous sommes convenus de tout absolument.

Rouquérolle.

Oui, baron, de tout !

Fourchevif.

Ah ! c’est différent, du moment que…

Rouquérolle, à part.

Il a une bonne tête, le patron !

Il remonte et regarde les portraits au fond.
Fourchevif, bas à Lambert.

Dites-moi, il a les cheveux bien longs ?

Lambert, bas.

Il les fera couper.