Et puis le mariage, dit-on, vous crée un intérieur ; c’est un oranger sous lequel on place un banc pour se reposer… Je ne vois aucun inconvénient à s’y asseoir… si ça ne vous va pas, vous ferez comme moi, vous vous lèverez !
C’est que je ne me marie que pour m’asseoir !
Maintenant, quant à ce qui me concerne… si votre maison devient moins agréable… si votre femme m’impose de la gêne, de la contrainte… je ne viendrai plus chez vous, voilà tout !
Voilà tout ! Il y a une chose qui m’embarrasse un peu.
Quoi donc ?
J’ai donné ma parole à Georges…
Vous pouvez la retirer… Trouvez un prétexte !
J’ai bien cherché ; mais c’est très difficile… Il faudrait l’amener à renoncer de lui-même.
Tiens ! jetez-lui Armand dans les jambes.
Quoi, Armand ?
Il aime aussi Thérèse.