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Hernandez, apportant un tabouret.
Pour la poitrine de Monsieur !
Martin.
Et un coussin sous la tête.
Hernandez prend un coussin du divan et le place derrière la tête d’Agénor.
Agénor, à Martin.
Oh ! tu es bon, toi ! Tu m’aimes !
Hernandez va s’asseoir sur le divan. Agénor est assis au milieu de la scène. Martin est debout, près de lui.
Martin.
Oui… oui… sois tranquille ! Comment te trouves-tu ?
Agénor.
Mal ! J’ai froid… je sens comme un faux frisson.
Martin, apercevant la fenêtre ouverte.
Parbleu ! on a laissé la fenêtre ouverte ! Quel est l’imbécile ?… (À Hernandez.) Ferme la fenêtre.
Hernandez la ferme avec humeur et revient s’asseoir sur le divan.
Agénor.
Oh ! j’ai la bouche sèche… je boirais bien…
Martin.
Quoi ?
Agénor.
Je ne sais pas quoi. Rien ne me dit.
Martin.
Parle. Dans ta position, tu peux tout demander.
Agénor.
Eh bien, donne-moi un petit grappillon de raisin.