Page:Laplace - Œuvres complètes, Gauthier-Villars, 1878, tome 2.djvu/180

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soit nulle. Les équations (O) du no 40 deviendront ainsi

(O")

De là il est facile de conclure que la suite des quantités du no 40 est

Les équations (O") leur correspondent dans l’ordre la somme des six premières est plus petite que la demi-somme de toutes ces quantités, et la somme des sept premières surpasse cette demi-somme ; la septième quantité répond à la treizième des équations (A") ; on a donc, par le no 40, et par conséquent

ce qui donne pour l’ellipticité de la Terre. Cela s’accorde d’une manière remarquable avec l’ellipticité conclue des mesures de France et de l’équateur. Il paraît donc, par les observations du pendule, que la Terre est beaucoup moins aplatie que dans le cas de l’homogénéité.