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LIVRE XIII.

la formule (a) devient ainsi

Si l’on ne considère, dans les observations des marées, que l’excès d’une haute mer sur l’une des deux basses mers voi\sines ; si, de plus, on prend ces excès en nombre égal, dans les syzygies et dans les quadratures des équinoxes du printemps, des équinoxes d’automne, des solstices d’été et des solstices d’hiver ; enfin, si, pour détruire l’effet de la parallaxe lunaire, on considère les trois syzygies ou les trois quadratures les plus voisines de l’équinoxe ou du solstice, en doublant les observations relatives à la syzygie ou à la quadrature intermédiaire, les résultats de l’observation ne dépendront que des flux relatifs aux angles flux dont la période est d’environ un demi-jour et dont les deux premiers sont, dans nos ports, beaucoup plus grands que tous les autres flux. étant une