syzygies solsticiales a surpassé la moyenne des retards des marées syzygies équinoxiales. Dans les quadratures équinoxiales, le plus petit retard journalier des marées quadratures équinoxiales a surpassé le plus grand retard des marées quadratures solsticiales.
En prenant une moyenne entre les retards journaliers des hautes et des basses mers, on a, pour ces retards,
| Syzygies | Quadratures | |||||
Équinoxes |
Équinoxes |
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Solstices |
Solstices |
Les observations anciennes m’ont donné, dans le Livre IV, les retards suivants :
| Syzygies | Quadratures | |||||
Équinoxes |
Équinoxes |
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Solstices |
Solstices |
Nous retrouvons donc ici, entre les observations anciennes et modernes, le même accord que nous avons trouvé dans le troisième Chapitre, relativement aux hauteurs des marées et à leur variation.
L’heure de la basse mer du matin du jour qui suit la syzygie équinoxiale a été En lui ajoutant un quart de jour, plus un quart du retard journalier des marées syzygies équinoxiales, on doit avoir l’heure de la haute mer du soir, si la mer à Brest emploie autant de temps à monter qu’à descendre ; on a ainsi pour cette heure L’observation donne La différence est Les syzygies solsticiales donnent de différence.
L’heure de la haute mer du matin du jour qui suit la quadrature équinoxiale est En lui ajoutant un quart de jour, plus un quart du retard journalier de la marée, on a pour l’heure de la basse mer du soir. L’observation donne La différence est Les quadratures solsticiales donnent pour cette différence. Toutes ces différences me paraissent être dans les limites des erreurs des observations. Suivant les observations anciennes, le temps de la descente de la marée surpassait de tierces environ celui de
