Page:Laplace - Œuvres complètes, Gauthier-Villars, 1878, tome 5.djvu/401

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On a formé ainsi les trois équations suivantes :

On a trouvé, après un petit nombre d’essais,

d’où l’on a conclu

et la distance périhélie égale à ce qui a donné, pour l’instant du passage au périhélie, sept. temps moyen compté de minuit à Paris.

Les valeurs précédentes de relatives à trois observations, ont donné la distance périhélie égale à et, pour l’instant du passage, sept. ce qui diffère peu des résultats fondés sur cinq observations.


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