Page:Laprade - Les Voix du silence, 1865.djvu/59

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Jardin sans fleurs, soleil sans flamme ;
Rentrons dans l’asile secret,
Et visitons enfin notre âme ;
Adieu, jardin, vigne et forêt !

Adieu, jardin, vigne et forêt !
J’aperçois, dans un monde immense
Où la nature disparaît,
Tout un printemps qui recommence ;
Adieu, jardin, vigne et forêt !