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que je devais attaquer et prendre d’assaut ; ses cuisses faites au tour et généralement tous les charmes que je passais en revue. J’aurais voulu tripler mon être, afin de pouvoir rendre un hommage particulier à chacune de ces perfections ; mais, hélas ! je ne possédais qu’un sacrificateur, je n’avais qu’un membre viril à offrir à ces différents appas, et comment la vue de ces miraculeuses beautés ne l’aurait-il pas rendu ferme, long, tel enfin qu’il devait être pour triompher du pucelage de ma Constance ? Comme il était en ce moment l’unique objet des désirs de mon amante, elle y avait porté les mains, et soit que ce fût l’effet de ses attouchements voluptueux, soit que ce fût celui de son extrême extension, soit enfin que le moment fût venu, la tête de ce membre, qui allait sous quelques minutes jouer son premier rôle que l’amour libertin offre à ses sectateurs, avait brisé les liens qui le retenaient captif, et la peau du prépuce s’était rejointe à tout le reste ; j’étais enfin dans l’état où se trouve maintenant nos prêtres infidèles, j’étais décalotté. Je n’en avais pas encore reconnu l’effet, je n’avais pas encore vu la tête d’un nerf érecteur dans toute son étendue, et j’admirais avec Constance cet effet prodigieux où