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propres à augmenter le plaisir pendant l’action. Je t’assure, ma chère cousine, que deux fesses qui s’approchent et se retirent à propos donnent à la volupté un bien grand assaisonnement. Il ne nous manquait que des glaces pour pouvoir contempler nos attitudes, mais pour nous dédommager il me faisait toucher tous ses membres, qui sont très-bien faits et prenait autant de plaisir à sentir promener mes mains sur son corps qu’il en ressentait lui-même en maniant toutes les parties du mien. Il n’avait jamais mis tant d’apprêts pour me le faire. Ne pouvant plus résister à l’ardeur qui me dévorait, car j’étais tout en feu, je l’empoignai par le manche, je le menai au pied du lit, sur lequel je me couchai à la renverse en l’attirant sur moi. Je m’enfilai moi-même et fis entrer son outil dans ma panoufle jusqu’à la garde. Alors mon ami, me serrant étroitement dans ses bras, me secoua de toutes ses forces ; il faisait craquer le lit et je me trémoussais avec une vivacité que je ne m’étais pas encore sentie. Bref, toutes les parties de notre corps étaient dans une agitation inexprimable. Tiens, ma cousine, tu aurais été ravie en extase en voyant le plaisir que nous ressentîmes en répandant un torrent de