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Page:Le Sylphe - Poésies des poètes du Dauphiné, tome 1, 1887.djvu/168

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LE SYLPHE Car, cette mélopée intime et soupirante Vous disait un chagrin jusqu'alors invécu. Vous êtes jeune et tendre, et frêle et rose et blonde, Et vous allez dans l'avenir fleuri d'espoir, Ecoutant, comme un bruit plein d'ivresse féconde, La plainte du zéphyr, dans les arbres, le soir. Grenoble, 10 Octobre 1887. C. NIEMAND.