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Page:Le Sylphe - Poésies des poètes du Dauphiné, tome 1, 1887.djvu/199

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LE SYLPHE REVUE DES ÉCRIVAINS DAUPHINOIS. A NOS LECTRICES ET A NOS LECTEURS Ces quelques lignes ne sont ni une préface, ni une présentation, mais l'exposé sommaire de notre but. Les préfaces ne se lisent plus guère — et toute présentation nous semble superflue quand, en naissant, on a pour parrains une pléiade d'écrivains tels qu'EiiiLE Augier, Maurice Faure, Gustave Rivet, Emile Trolliet. Voici, maintenant, notre but : Populariser les noms des grands écrivains dauphinois anciens et contemporains, tout en aidant c les jeunes » à prendre leur essor. Ainsi donc, notre SYLPHE sera exclusivement littéraire et rédigé seulement par les écrivains des trois départements. tJn organe conçu dans de telles conditions est une innovation pour notre province : c'est pourquoi nous sommes persuadé que le public l'accueillera bien, aussi bien que la dame à qui le Sylphe de la ballade de Victor Hugo murmurait : Ne me crains pas, c'est moi qui suis faible et timide, Et si j'avais une ombre, hélas! j'en aurais peur! Jehan ÉCREVISSE. Voiron, le 15 janvier 1887. £><$•«