Page:Lefèvre-Deumier - Confidences, 1833.djvu/152

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Ton portrait vit au cœur qui ne peut t’oublier ;
Penche-toi sur mon âme, il est là tout entier.
Comme un dernier trésor, mon souvenir le garde :
C’est un miroir sacré, qui ne ment pas… regarde !