Page:Leopardi - Poésies et Œuvres morales, t2, 1880, trad. Aulard.djvu/30

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mes paroles déplaisent ou sont obscures aux gens, je ne m’en plaindrai pas : car mon antique désir de la gloire sera tout à fait éteint en moi : la gloire n’est pas seulement une vaine déesse ; c’est une déesse plus aveugle que la fortune, le destin et l’amour.