Page:Lepelletier - Histoire de la Commune de 1871, volume 2.djvu/440

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coupable d’avoir été la sœur chérie de l’insurgé. La fin de Charles Delescluze fut un noble suicide à peine dissimulé, un sacrifice cherché, voulu. Le grand vaincu se fit donner la mort, car il voulait que cela fût ainsi. Il tomba comme un soldat, comme un martyr. Charles Delescluze put achever ainsi sa digne et vaillante existence dans la splendeur d’une apothéose sinistre.