Page:Leroux - Une histoire épouvantable, paru dans l'Excelsior du 29 janvier au 3 février 1911.djvu/27

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» Mon amphitryon continuait :

» — Tu n’as pas l’air très « à la hauteur », mon vieux Michel ! Je t’ai connu plus gai ! plus en train !… Est-ce parce que nous sommes « comme ça » que ça te rend triste ? Que veux-tu ?… On est comme on peut !… Mais il faut rire… Nous sommes réunis, tous ici, des amis exceptionnels, et pour fêter le bon temps, où nous sommes tous devenus « comme ça » !… Pas vrai, messieurs de « la Daphné » ?…