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Page:Les Deux Bourgognes, tome 7, 1838.djvu/109

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pas. Une seule fois, croyant son père sorti, elle se plaignit de mourir si jeune, quand le destin semblait lui promettre encore tant de jours de bonheur. Quelquefois, elle tournait son œil mourant vers son père, en le priant de prendre du repos, et le vieillard désespéré sortait alors de la chambre pour se frapper la poitrine et verser en silence un torrent de larmes.