Aller au contenu

Page:Les Mille et Une Nuits, trad. Galland, Le Normant, 1806, III.djvu/253

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
245
CONTES ARABES.

et dans un lieu où ce rival est si puissant, que je ne suis pas même en ce moment assuré de ma vie. »

Scheherazade n’en dit pas davantage cette nuit, parce qu’elle vit paroître le jour. Le lendemain elle reprit la parole, et dit au sultan des Indes :