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Page:Les Mille et Une Nuits, trad. Galland, Le Normant, 1806, III.djvu/273

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CONTES ARABES.

çut, les rassura par un soupir…

La clarté du jour qui paroissoit, obligea Scheherazade d’interrompre là sa narration. Elle la reprit le lendemain de cette sorte :