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Page:Les Mille et Une Nuits, trad. Galland, Le Normant, 1806, III.djvu/499

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CONTES ARABES.

La tendresse de la reine de la Chine étoit trop intéressée dans ce qu’elle venoit d’entendre : elle se fit suivre par la nourrice, et elle alla voir la princesse sa fille dès le même moment.

La sultane Scheherazade vouloit continuer ; mais elle s’aperçut que le jour avoit déjà commencé. Elle se tut ; et en reprenant le conte la nuit suivante, elle dit au sultan des Indes :