Page:Liszt - Pages romantiques, 1912, éd. Chantavoine.djvu/114

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déjà acheté en votre honneur, un calumet de Paix ; votre mansarde est meublée et prête à vous recevoir ; et mon piano en nacre de perles, muet depuis plus de trois mois, n’attend que vous pour faire retentir les montagnes d’alentour d’échos discordants.

Adieu, et au revoir.