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MADAME CHRYSANTÈME

dans une plus grande exaltation du bonheur de vivre.

Il est, pour moi, le bruit caractéristique de ce pays, — avec le cri de cette espèce de gerfaut qui, lui aussi, avait salué notre entrée au Japon. Au-dessus des vallées et des baies profondes, ces oiseaux planent, en poussant de temps à autre leurs trois : « Han ! han ! han ! » d’un timbre triste, comme au comble de l’étonnement pénible, de la douleur. — Et les montagnes répètent leur cri.