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divers genres d’animaux. C’est ce que M. Vauquelin nous fait parfaitement connaître.

La chimie végétale lui est plus redevable encore. Les sèves[1], les sucs propres de plusieurs arbres[2], les remèdes les plus usités que la pharmacie tire du règne végétal[3] ; les différentes farines[4] et autres substances alimentaires fournies par ce même règne ; plusieurs de celles que les arts en obtiennent, ont été soumises à son analyse[5]. Ses examens chimiques de la casse[6], du tamarin[7], de l’ellébore[8], de la belladone[9], des quinquina[10], des diverses

  1. Journal de la Soc. des Pharm., 1797, p. 46, et 1799, p. 338. Ann. de Chim., t. XXXI, p. 20. Journ. de Phys., t. XLIX, p. 38.
  2. Mém. de l’Institut, t. VII, p. 50, t. VIII, p. 154. Ann. de Chim., t. XLIII, p. 267, t. XLIX, p. 295, t. LIV, p. 312, et t. LVII, p. 88. Ann. du Mus., t. IX, p. 301.
  3. Bulletin de la Soc. Philom., 1793, p. 44. Ann. de Chim., t. LXXII, p. 191, t. LXXX, p. 314 et 318. Ann. de Chim. et de Phys., t. III, p. 337. Mém. du Mus., t. III, p. 198. Journal de Pharmacie, t. I, p. 481, t. III, p. 164, t. IV, p. 93.
  4. Journal de Pharmacie, t. III, p. 315 et 481, t. VIII, p. 353. Mém. du Mus., t. III, p. 229 et 241. Journ. de Phys., t. LXXXV, p. 113 et 124. Ann. de Chim., t. LXXXV, p. 5.
  5. Ann. du Mus., t. XIV, p. 21. Mém. du Mus., t. II, p. 432, t. VI, p. 145. Ann. de Chim., t. LXXI, p. 139.
  6. Ann. de Chim., t. VI, p. 275.
  7. Ibid., t. V, p. 92.
  8. Ann. du Mus., t. VIII, p. 80.
  9. Ann. de Chim., t. LXXII, p. 53.
  10. Ibid., t. LIX, p. 113.