Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 6.djvu/106

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^eyiij hist’oiae de l’acabémië,

po&ges, tes grès rouges et les dolomies ou calcaires magnésiens qui les surmontaient, est les opt rompus et désordonnés de manière qu’il est impossible jaujourd’hui de les ramener au même niveau. M., de Buch, qui : avait déjà appliqué cette manière de voir aux montagnes de l’Auvergne, croit pouvoir l’étendre à là pjiuts grande partie des Alpes, au moins des Alpes caLcabœsîjet il a ; découvert ; dans plusieurs endroits le porphyre pyroxenique demeuré cmhé ailleurs, mais quia été partout : la muse des soulèvements, N’observant dans ces cantons les masses de doiomieque fendillées en sens divers, où. creusées de cavernes v et placées sur le porphyre pyroxénique et au niveau du calcaire ordinaire des Alpes, M. de Bueh croit que cette pierre est une transformation du calcaire pénétré par la magnésie queie porphyre y à introduite. En un mot, elle n’en est qu’un accident. Vouloir distinguer une formation spéciale de calcaire magnésien ou de dolomie fie serait, suivant M. de Buçh, comme si l’on proposait de faire une espèce d’un chêne qui aurait des galles et une autre de^elui j^3irn ?enaïji^it pas>

Les naturalistes viennent d’< ?htenir un puissant secours, pour apprendre à bien connaître l’Auvergne, ce pays jçlassique pour l’étude des anciens volcans et de toutes ces masses sosuîevées ietfapâvaiUées par les feux : i>oiutèrraifls. M. Desmamtslà fils <â publié lia carte à laquelle feu son père avait travail® presque pendant toate ̃ sa vie et où il a marqué la ; jjfttaaffèadàcbague pic^ les cratères des différentes époques :], iesia6iaraaits.de la«s descendus de chacun d’eux, les hsmto®&s^£U&sLMt, Aépmétiï enfin r Soutes les madificalâons impriaiées à ; fïe : pip par, l’actian successive de ces