Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 6.djvu/125

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PARTIE PHÏSIQJWE, ` 1 GXVij

d’une racé sauvage nommée cochons marrons, qui à Iburni pendant long-temps une grande ressource alimentaire mais que le peu de soins donnés à sa conservation a laissé endèreinent détruire dans presque toutes les îles. v : r ; n D’un autre côté on sait qu’il existe en Amérique un genre de quadrupèdes connu sous le nom de dicotyile cm pecmil voisin des cochons, mais qui s’en distingue ipâJJain^çifiee glanduleux perce sur le dos par desdéfenses courtes et droites ne sortant pas de la bouche, et par le ittanque denqueue et d’un ! doigt interne au pied de derrière.. Ces animaux sont aujourd’hui confinés ; sur le continent mais il paraît qu’il y en a eu, au moins momentanément, à Tabago, et peut-être dans quelqueV-unes des îles voisines. Les naturalistes en ont décrit exactement d^uMespèGesW Tune à collier blanc, l’autre à gorge et lèvres ^blanches ; et l’on- pourrait croire d’après une indication un pe» confuse de Bajon, qu’il en existe une : troisième^ à laquelle jjosJcolans de Cayenne auTa.i^nt aussi transporté le nom de cochons m’ars rons. Il y a : en ef^Jt un tnélange eS des iater^e^sipns sin^ulières de noms dans les notices que T ; on en r 4o’nney et on conçoit qu ?il ne pouvait guère en être autrement, dé la part d’hommes au§ si ignpr%nts que^ les E»u.Teytrel- les J#bat f et les autres, moines, pu maufaiç çhipiïgien^KatiJMjuels ; nous, d«VQns les descriptions ; ; dë nos fiOtlôjnies^dqla ; parj/Sde ; geps qui nous Jisent.jsans hésitejp, que ; l#[^^aaF^fft* par le trou qu’il a sur lie dos, et que ç’est^e |ùiilaji^we ne s’essoufBant point il esl5 !difficUe : dé fe :îôfc|è ; giïa #a^ev ; II était donc naturel que ;McMoFeau : d^

confondues da^s plusieurs rejai^Q^i |(^e ^uvept’on crût avQir obsprvé des GQelionS ; smarjfQtts^ <teysqiiêrKort) n’àvak -vu