Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 6.djvu/126

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CX^ïj HISTOIRE DE L’ACADÉMIE, CX’V}]J li HISTOIIiE DE.L~ACADÉMIE queues pécaris^ et que réciproquement ceux-ci prissent souvenu fes noms de oorchons et de sangliers a cause ’de leur resseÀferkneeavecGës quadrupèdes d’Europe. Remarquant donc

que plusieurs relations attribuent des cochons marrons à des îles ©u à ; des endroits du continent où nul motif n’avait pu iawe poner nos cochons d’Europe, et à des époques si voi-SiwèëE^é’eelte ïdesla découverte qu’il était presque impossible q^il&^| fussent multiplies ; voyant qu’une espèce dé pécari paraît porter aussi dans Une de nos colonies Je nom de cochon marron, il en conclut que les animaux nommés ainsi, et autrefois si noïnfeïéux dans les Antilles, "n’étaient point d’origine européenne, mais appartenaient à cette grande espèce ide pécari dont 6n..n !à connaissance que par l’indica^ tiôii de Bajon. Peut-être cette conclusion est-elle juste pour plusieurs îles, ; mais il est Gracile qu’elle ne paraisse pass lin peu trop générale surtout relativement aux cochons marrons delà Martinique dont Du Tertre dit expressément qu’ils sont armés de deux horribles dents. bouclées comme des cornés deééUèrs, caractère propre à nos sangliers d’Europe mais quèn%nt ; pas les pécaris. ’̃'•

i’M ; €iivier, (à Toccasîo» de ses recherches sur les cétaeées f0ësilesya ;étiôbl4^é ; d’ëh faire de fort étendues sur Ifô, cé^ tàc^esijuî ^èhtiîàujôii¥d%ui dans la merllla faitèonrikrtre de noiivelles ës^è^ide baleines et de dauphins une én«rë autres, quiiii’k ’^oin^e itageoirë sur M dos, II ̃̃&, • %u éotitrâïre rayé dû êatal©|uetiës animaux soit desibalêines, ^oit dès dâuphirfej #’ su¥tbtib ^pl^iëu^s -eâc%léts ;<Jui y avaièiït éie pkcé^ë1ï’d^bI|>èé^fëiV: et il à dÔW^éi : dè’tou^iéës Mlii^ màux ;€esdè^^ :-dú ~pl rts éfcilïiM