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166 ÉTAT DE LA VÉGÉTATION (.̃̃̃’̃

trouve- toutes deux, l’une à côté dé l’autre, diminuant de dimensions à mesure que l’on s’élève et conservant toujours leur caractère distinçtif ; •

ia6. Sibbaldia PROcuaiBENs- Wîtld. sp. i par so. p. 1 567. – Smith, brit. i, ip :3/i5. Dec. ft.fr. 5, p. 453. – FI. dan. i tab. 3a. – Pennant, tour in Scotï.3, p. 43, tab. 5..̃̃ ’̃̃̃

Entre les deux sommets, 3o août 1809. – Je l’avais déjà trouvée sui les cimes déNéouyielle, le 20 août 1795.

j. Potentilla FiLiFQRMis, Bec.ft.fr. suppl, p. 54a. {Quoad descriptioneinrexclusosjn. PFulf.)anFiU.delph..Z p. ^64 ?

s Sommet supérieur, 22 juillet 1799, 16 septembre 1805.

Souches souterraines, épaisses, rameuses, . d’où s’élèvent des tiges’ plus ou- moins allongiées grêles, simples, peu feuillées, si ce n’est à la base, et portant une à trois fleurs sur des pédonciiles longs et filiformes. Les fleurs sont d’un beau jaune, et leurs pétales du double plus longs que le calice, échancrés au sommet, tachés de fauve à la base. Elle diffère du P. verna par son port, par la grandeur de ses fleurs, par ses calices à segments plus larges, plus obtus, plus inégaux par ses feuilles dont les folioles sont presque sessiles sur le pétiole commun moins tronquées au sommet, et à 7 -9 dents au lieu de cinq ; enfin par ses poils moins nombreux mais, plus étalés. Ce n’est point du tout le P. salisburgènsis de Wulf. J’ai reçu de Salzbourg cette dernière espèce rare même dans son pays natal elle ressemble bien flîôins au P, filiformisep£k ma P ; pyrendica avec laquelle on ne peut, néanmoins la confondre.

ï à8 ; Potentilla ni VAî, is. Lapeyr. act. tol. i p. 2 1 o, 1. 1 6. – Dec : ft.fr. 5^. fôS.

~Mp~–< a bona. -.̃̃"̃̃̃