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AU SOMMET DU PIC DUilIDI. 167

P. valderia.– FUI. delph. 3yp. 672. {non Linn. nec Allïon ?)

Sommet supérieur. En fleur, 8 août 1792 ; fleurissant encore le 11 septembre 18io ;-à peu près défleurie, le 14 septembre 1792 et le 16 septembre 1793. – Petits individus

d’une couple de pouces de haut.

Le nom que Willdenow impose à cette espèce vautbeaucoup mieux que celui du botaniste de Toulouse. Mai’s l’antériorité a ses droits il faut les respecter.

Ses fleurs ont, selon Lapeyrouse, cinq pétales^ et le calice aurait douze segments ce serait certes une étrange distraction de la nature. Heureusement ce n’est qu’une méprise de l’observateur. La fleur terminale a ordinairement, il est vrai un calice à 12 divisions mais alors il y a six pétales. Les autres fleurs n’ont que cinq pétales, mais leur calice n’a que dix divisions. Je remarque en outreque ce calice est fortement urcéôlé et tout-à-fait conique la description de Lapeyrouse n’en dit rien et, la figure le fait ovale, pour avoir été dessinée, sans doute d’après un individu desséché. >

J’ai vu la plante de Villars c’est bien là même. < ñ:..̃̃ lIgtj mineuses. ’̃' "̃̃̃ ̃ ̃’

129. AnthylLis vuiNERARiA. {Floribusrubris). Dec.jl.fr. 5, p. 5i6.-+- JVilld. sp*3’pàr$2, p ïùi$p-^ Dalech. Lùgd. 1 p. 609, f : û. 2.

Sommet inférieur, 7 octobre 1809.

Il y a trois variétés de cette espèce -à fleurs rougis pd !un jaune ocreux, d’un jaune pur. Elles se distinguent non-seulement par la couleur dès fleur ? mait par la figuré des ? ’feuilles y Ia’découp1ire et la proportion des Bractées. La plante du Pic appartient à la première. Ses fleurs sont d’un rouge très-vif, ses bractées très-courtes, à découpures élargies, les folioles en petit nombre, l’impaire fort grande /ovale à peine ’àïgiiël Pèd e poils tous couchés aspect glalwë. La^êsSièïè-fifùfè^é’Daliéchainprepré-