25q THÉORIE DES PHÉNOMÈNES
tend évidemment vers la limite j ii’p à mesure que les angles « et p s’approchent de zéro elle s’évanouit avec p quand ces angles deviennent nuls.
Reprenons maintenant la valeur générale du moment de rotation en n’y faisant entrer que les distances OL"=fl", OL’= a, et les différents angles, valeur qui est
ÎV d’ sin. (&’ s) – «"sin. (p/’– e) – a< sin. (£/– *)̃ a" cos. s «"cos.j E- a’ cos. s «^cos^l a + « sin. (13, – e) – -^rr + -^jr + ^TJ7~ sin. p/J et appliquons-la au cas où un des conducteurs L’L"(fig. a5) est rectiligne et mobile autour de son mi-lieu LI et ou l’autre part de ce milieu. En. faisant L’L"= sa on a
a"=a-ia’==-–a ?, ’=̃*̃+ «̃, pIer=e-, sin. g/= – sin. p, et en désignant comme précédemment les perpendiculaires abaissées de L, sur V L2 L"LO l’expression du moment devient “ acùs.s, acos.t
a L L C~Z -I-~7z sin. ~x" sin. (3, ’ J
Or
sin.p2"sin.£: r2" et – sin.«:: sin : g : r2’,
et les valeurs de r" et de r, ’ tirées de ces proportions et substituées dans l’expression précédente la changent en U [p" +p ; + COt. e {/– r, ") ]
Lorsqu’on suppose L, L2 infini, on a / ?, "=/>>• = «-sin.e, r2’ i- r, "= 2 a cos. s et cette valeur du moment se réduit à ï 2COS.~e aii`
—ailla, sin. e + -p j=^7