Page:Ménard - Poëmes, 1863.djvu/109

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Car l’astre qui m’éclaire est l’astre des prophètes :
J’entrevois des secrets cachés sous d’autres cieux.

Salut à l’aurore nouvelle !
Salut à ce grand jour qui ne doit pas finir !
Soleil des temps qui vont venir,
Ton flambeau divin nous révèle
Encore un mot du livre où chaque siècle épèle.
Salut à l’aurore éternelle
Qui conduit le jeune avenir !