Sainct-Germain-en-Laye, ce dernier de febvrier) celle qui est
Vostre bonne cousine et amye, MARGUERITE.
P. S. Je vous prie sus tout, gardés vostre santé et me mandés comme elle se porte, car vous savés bien que je l’estime comme la mienne propre. Je seray, s’il vous plaist, recommandée à M. de Sanlis.
[F. Beth., n° 8514, fol. 57. Dictée. P. S. auto.] 12.
A M. DE LA ROCHE’. Vileroy vous dira la doubte que j’ay eue sur luy pour vos lettres, car il semble que vous devinés ce que je vous mande avant que l’avoir veu, dont Madame a esté fort contente, et pour ce continués. Et plus n’en puis dire, car la poste part et Madame m’appelle. Sur ce, que vous ferés fort bien, et à moy plaisir, d’escripre à M. de Jonvelles, ou luy faire escripre par Mézières qu’il ne tarde plus à amener sa fille, car nous allons cheux M. Deschenais", où elle pourroit bien se rendre. De ma part le luy ferés entendre, car vous savez que quoy quy vous puisse 1 François de Montmorency, second fils de Guillaume de Montmorency, frère d’Anne, seigneur de La Roche-Nolay, ct nommé du noni de sa mère Pot. Joignant l’un à l’autre, il s’appela M. de La Rochepot. Il avait aussi la scigneurie de la Prunc-au-Pot. Il fut gouverneur de la Picardie, en 1536. 2 D’Irteville.
