Page:Marguerite de Navarre - Lettres, éd. Génin, 1841.djvu/444

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
424
LETTRES INÉDITES

LETTRES INÉDITES F. Béthune,

n° 8514. depuis le commencement de ce caresme, comme pouvez sçavoir d’ailleurs, mais de ceste heure, elle est, Dieu mercy, très bien, etc. » (12 lignes.) « 

De Nansay, le ixe de may. » Fol. 73. Au mÈME. (Auto.) — Le commencement de cette lettre a été coupé. Dans les 22 lignes qui restent, il est question de la convalescence de Madame,

que le retour du Roi achèvera de guérir. (Sans date.)

No 8551. Fol. 5.

— A MON NEPVEU, M. LE GRANT-MAISTRE. ( Auto.) — Marguerite écrit le jour du vendredi saint ; elle annonce la bonne santé de toute ceste compaignie, et recommande au grand-maître « le fils de Passy, beau-fils de M. de Valence, lequel ne demande point maintenant d’estat, car il est fort bien appointé à la chambre des contes, à Parys, et sy a bien de quoy, et ne désire que estre retenu en estat où l’on puisse voir son bon vouloir et savoir, que l’on estime fort bon… » (Une page.) Fol. 13. — AU MÈME. (Dictée.) — Elle lui adresse les ambassadeurs des « ducs des Acz et Langravedes’. » « Et pour ce que je n’entends pas bien leur langaige, ce porteur m’a servy de truchement, que je vous envoye pour vous desclarer leurs affaires. » (13 lignes, sans date.) P. S. de la main de Marguerite : « Il (ce porteur) vous parlera de l’afere de la pouvre lieuteCe sont les duc de Saxe et landgrave de Ilesse.