à son fidèle esclave Couttoub/94. — Son alliance avec les Jickers, 95. — Il meurt assassiné, 96.
Mohammed III, fils de Touglick, soupçonné d’avoir préparé la mort de son père, IV, 223. — Il achète la retraite d’une armée mogole, 224 ; — veut tenter la conquête de la Chine, 225 ; — transporte la résidence impériale à Décghir ou Dowlat-Abad, 226. — Troubles intérieurs et révoltes causés par les cruautés de l’empereur, 23o. — Sa mort ; son caractère odieux, 286.
Mohammed IV, fils de Férose III, porté sur le trône par l’abdication de son père, IV, 247 ; — soulève la nation contre lui par ses excès, 248. — Sa couronne passe sur la tète de Touglick II, 249. — Après plusieurs tentatives il parvient à remonter sur le trône, 256. — Sa mort, 258. — Houmaïoun, son fils, lui succède, et meurt après quarante-cinq jours de règne, ibid. — Interrègne et désordres dans l’empire, 259.
Mohammed V, petit-fils de Chizer, proclamé empereur, IV, 302 ; — néglige le soin des affaires publiques, 305 ; — confie à Béloli la défense de l’empire ; sa mort, 309.
Mohammed VI, oncle de Férose IV, égorge de sa propre main le jeune monarque, et usurpe la couronne, IV, 432. — Elève Himou au poste de vizir, ibid. — Ses profusions insensées, 433. — Funeste jalousie de ce prince contre Ibrahim, son cousin, 434. — Ses deux capitales lui sont enlevées, 435. — Deux compétiteurs s’arment à la l’ois et lui disputent l’empire, ibid. — Il profite de la lutte violente qui vient de s’engager entre Houmaïoun et Secunder pour attaquer Ibrahim et détruire son parti, 440. — Sa conduite imprudente après la soumission du Bengale, 44é ; — s’empare d’Agra et
