Page:Marlès - Histoire de l’Inde ancienne et moderne, 1828, tome 6.djvu/358

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
348
TABLE.

à ses pieds, 409. — Ses horribles exactions, 411. — Soulèvement dans la ville de Délhy suivi d’un effroyable massacre, 414. — Il replace Mohammed-Schah sur le trône, 415. — Sa retraite, 426. — Il meurt assassiné, 437.

Nanac, fondateur de la secte des Sickhs, V, 329.

Nazir-Jing, soubah du Dékhan ; ses querelles avec un de ses neveux, Mourzaffa-Zing, VI, 6. — Il viole son serment et fait charger Mourzaffa de chaînes, 8 ; — abandonné par ses troupes et assailli par les Français, il meurt sur le champ de bataille, 9.

Nizam, gouverneur dvx Dékhan ; son insubordination, V, 389. — Ses manœuvres dans le Dékhan, 398. — Son mécontentement et ses funestes résultats, 399 et suiv. — Sa trahison, 407. — Il remis par Mohammed à la tête dé l’administration, 416. — Usage qu’il fait du pouvoir qui lui est confié, 418. — Alarmes que lui inspire la révolte du Carnatic, 420. — Il part pour cette province et y ramène le calme, 427 ; — refuse le viziriat qu’on lui offre, et meurt dans la cent cpiatriùme année de son âge, VI, 2.

Nounda, radjah de Callinger, s’attire la colère de Mahmoud I, IV, 24. — Il demande la paix, 27. — Présent qu’il offre à l’empereur Mahmoud, ibid. — Comment il apaise le courroux de son vainqueur, et quelle récompense il en reçoit, 28.

Nourmahal ; violcutc passiou qu’elle avait inspirée à Jéhanghire, V, 86. — Son élévation, 89. — Son influence dans l’administration de l’empire, go. — Progrès de sa puissance, 102. — Elle ne doit la vie qu’aux larmes de Jéhanghire et à la générosité de son vainqueur Mohabet, 122. — Son caractère vindicatif, 123. — Sa mort, 160. (Voy. l’histoire de cette fameuse favorite au tome VI, 177 à 180.)

Nouzérit. petit-fils de Férose, élevé à l’empire par une